L’Union européenne a adopté un accord qualifié d’historique pour stopper la déforestation qu’elle provoque ailleurs dans le monde. Si elles reconnaissent la portée du texte, les ONG en soulignent aussi les failles.
Les citoyens du continent réclament toujours plus de meubles en bois précieux, de steak de bœuf et de chocolat. Résultat, les forêts tropicales rabougrissent.
Ce schéma pernicieux, c’est celui de la « déforestation importée ». Selon le WWF (le Fonds mondial pour la nature), l’Union européenne a beau prendre (à peu près) soin des espaces arborés sur son sol, elle contribue pour 16 % de la déforestation planétaire, surtout en favorisant la culture du soja et du palmier à huile sur des terres déboisées. Les chiffres du Parlement européen sont un peu plus modestes…Lire l’intégralité de l’article sur www.sudouest.fr
