Vous êtes ici : Palm'Actu » Huile de Palme : Les acteurs africains en ordre de bataille
Huile de Palme : Les acteurs africains en ordre de bataille
Huile nocive. Huile à proscrire. C’est le message qu’on voulu faire passer les détracteurs de l’huile de Palme. Une rumeur qui n’est pas du goût des professionnels du secteur. Un secteur dont les acteurs entendent apporter une réplique communicationnelle. Et de for belle manière.
Pour la première fois, un congrès africain de l’huile de palme (APOC) est organisé. Le rappel des « troupes » est sonné. Biochimistes, planteurs, producteurs, transformateurs, décideurs. Tous (sont) unis contre la propagande.
Si la volonté et l’engagement de l’ensemble des acteurs (présents à l’APOC) à « soutenir les initiatives visant à renforcer l’image du Palmier à huile africain » est bien mise en évidence, il faudrait des actions concrètes sur le terrain. Nous en retiendrons deux essentielles.
Une communication offensive
En la matière les professionnels du secteur ont accusé un gros retard. Si la campagne de dénigrement a prospéré, c’est qu’elle n’a rencontré aucune réplique proportionnelle. Mais il n’est pas tard pour bien communiquer. Et pour ce faire, les pays africains doivent travailler en synergie, de façon conjointe et synchronisée.
Deuxième élément – déterminant – la qualité de la production. En la matière, la moindre faille pourrait donner raison aux détracteurs du secteur de l’huile de palme. C’est pourquoi les acteurs du secteur en Afrique doivent se faire violence et obtenir des productions qui respectent l’environnement et qui prennent en compte une amélioration des conditions de vie des personnes qui travaillent dans toute la chaîne de production.
Source : Le Trimestriel Palmafrique N°1 de septembre 2014.